“The animal behind your neck”
Marina Stanimirovic
Marina Stanimirovic
Exposition du 11 avril au 31 mai 2019
Le travail de Marina Stanimirovic explore les espaces tangibles et intangibles à travers la sculpture et les arts sonores.
Les narrations qu’elle imagine et les expériences qu’elle souhaite transmettre au spectateur découlent directement de son processus de fabrication qu’elle place au centre de son travail. Issue du bijou contemporain, c’est avec une attention particulière dans le choix des matériaux et techniques qu’elle crée des conversations et chorégraphies de volumes.
Dans ses dernières pièces, elle questionne les notions d’autorité, de pouvoir, de valeur et de résistance grâce aux vocabulaires du corps, de l’objet et de l’architecture.
« J’aime penser mes pièces comme des fragments de mouvements. Ce sont des gestes en oscillation entre vestiges et constructions. C’est pour cette raison que je ne cherche pas l’achèvement total d’une pièce mais suis au contraire, intéressée par les volumes légèrement «ouverts» qui laissent l’espace à l’interprétation et à de potentielles évolutions. »
EN GARDE,
LA PRESSENTIR.
FLAIRER CETTE MENACE
TANCÉ,
OBEIR
NE RIEN DIRE.
ATTENDRE.
AU TOURNANT
AU BORD,
ET DU HAUT, S’ABIMER.
MANGE
MACHE BIEN ET AVALE TON SILENCE.
HURLER MACHOIRES SERRÉES.
MAITRISER,
CONTRER,
RELEVÉ BABINES ENSANGLANTÉES.
SUSPENSION.
ET TOMBER
JETÉÉ
COULÉE AU FOND PAR CE POIDS D’ACIER.
CONFRONTÉ,
S’ACCROCHER
S’ARRACHER,
ETREINDRE ET REDRESSER CES CORPS DOMINÉS
DEMI-PLIÉ,
ASSIS,
COUCHÉ.
RESTE
AU PIED.
Marina Stanimirovic, janvier 2019
marinastanimirovic.com
En partenariat avec Moly-Sabata, Résidence d'artistes de la Fondation Albert Gleizes.
Les narrations qu’elle imagine et les expériences qu’elle souhaite transmettre au spectateur découlent directement de son processus de fabrication qu’elle place au centre de son travail. Issue du bijou contemporain, c’est avec une attention particulière dans le choix des matériaux et techniques qu’elle crée des conversations et chorégraphies de volumes.
Dans ses dernières pièces, elle questionne les notions d’autorité, de pouvoir, de valeur et de résistance grâce aux vocabulaires du corps, de l’objet et de l’architecture.
« J’aime penser mes pièces comme des fragments de mouvements. Ce sont des gestes en oscillation entre vestiges et constructions. C’est pour cette raison que je ne cherche pas l’achèvement total d’une pièce mais suis au contraire, intéressée par les volumes légèrement «ouverts» qui laissent l’espace à l’interprétation et à de potentielles évolutions. »
EN GARDE,
LA PRESSENTIR.
FLAIRER CETTE MENACE
TANCÉ,
OBEIR
NE RIEN DIRE.
ATTENDRE.
AU TOURNANT
AU BORD,
ET DU HAUT, S’ABIMER.
MANGE
MACHE BIEN ET AVALE TON SILENCE.
HURLER MACHOIRES SERRÉES.
MAITRISER,
CONTRER,
RELEVÉ BABINES ENSANGLANTÉES.
SUSPENSION.
ET TOMBER
JETÉÉ
COULÉE AU FOND PAR CE POIDS D’ACIER.
CONFRONTÉ,
S’ACCROCHER
S’ARRACHER,
ETREINDRE ET REDRESSER CES CORPS DOMINÉS
DEMI-PLIÉ,
ASSIS,
COUCHÉ.
RESTE
AU PIED.
Marina Stanimirovic, janvier 2019
marinastanimirovic.com
En partenariat avec Moly-Sabata, Résidence d'artistes de la Fondation Albert Gleizes.