Max Blotas
Résidence du 5 au 30 juin 2023
Max Blotas, artiste plasticien né en 1993 et vivant entre Paris et Londres, a été sélectionné pour une résidence d’un mois à la Factatory, dans le cadre du prix Jeune Création 2022 (Paris).
Il développe une pratique d’installation mêlant vidéo, son et éléments organiques, où réalité et fiction coexistent, dans un rapport au temps tout à la fois instantané et distendu.
Dans le même état d’esprit, à l’occasion de cette courte résidence, Max a proposé de réaliser une maquette réaliste de boîte de nuit miniature, visible au travers d’une grille métallique qui s’apparente à une plaque d’égout, enterrée devant l’entrée de son module.
L’activité de dancefloor qui s’y déroule est baignée dans une ambiance de musique pop et retransmise en live sur un écran suspendu au plafond de l’atelier. Le sol de la boîte de nuit est jonché de graviers et/ou d’insectes, qui tombent au grès des passages, et l’on comprend alors qu’ils sont la preuve tangible d’une interaction possible entre monde intérieur/souterrain et extérieur, entre fiction et réalité...
Sur le mur du fond, est accrochée une peinture à l’huile sur bois, de petit format, à la facture abstraite et gestuelle, représentant un espace brumeux; elle est l’amorce d’une série intitulée “The cover outlives what it cherished”. Munies d’un dispositif d’enregistrement vidéo, intégré à leur verso, ces peintures archivent les flux video des cameras installées à l’intérieur des maquettes. Dans un principe de mise en abyme, elles font aussi écho à des éléments de décors présents dans les vidéos, types jacquettes de DVD abîmées ou affiches de films peintes.
https://www.maxblotas.com
Photos © Max Blotas
Il développe une pratique d’installation mêlant vidéo, son et éléments organiques, où réalité et fiction coexistent, dans un rapport au temps tout à la fois instantané et distendu.
Dans le même état d’esprit, à l’occasion de cette courte résidence, Max a proposé de réaliser une maquette réaliste de boîte de nuit miniature, visible au travers d’une grille métallique qui s’apparente à une plaque d’égout, enterrée devant l’entrée de son module.
L’activité de dancefloor qui s’y déroule est baignée dans une ambiance de musique pop et retransmise en live sur un écran suspendu au plafond de l’atelier. Le sol de la boîte de nuit est jonché de graviers et/ou d’insectes, qui tombent au grès des passages, et l’on comprend alors qu’ils sont la preuve tangible d’une interaction possible entre monde intérieur/souterrain et extérieur, entre fiction et réalité...
Sur le mur du fond, est accrochée une peinture à l’huile sur bois, de petit format, à la facture abstraite et gestuelle, représentant un espace brumeux; elle est l’amorce d’une série intitulée “The cover outlives what it cherished”. Munies d’un dispositif d’enregistrement vidéo, intégré à leur verso, ces peintures archivent les flux video des cameras installées à l’intérieur des maquettes. Dans un principe de mise en abyme, elles font aussi écho à des éléments de décors présents dans les vidéos, types jacquettes de DVD abîmées ou affiches de films peintes.
https://www.maxblotas.com
Photos © Max Blotas